Formes fixes

Wikipédia en donne la définition suivante :
Un poème à forme fixe est un poème qui respecte une structure imposée, comme le nombre et la répétition de vers, une certaine alternance des rimes, l'apparition de certains mots (comme le mot Prince dans un envoi).

Tout d'abord rejetons les poèmes ne répondant pas à cette définition : l'élégie, la satire, l'ode ou la fable qui sont plutôt des genres littéraires.
J'ai également écarté certains poèmes qui n'ont pas survécu au XVIe siècle comme le lai, le virelai ou le chant royal.

Ce chapitre s'intéresse au rondel et au rondeau sou-vent confondus à cause des multiples appellations dont ils ont fait l'objet, à la vilanelle et à la ballade, ressus-citées par les Parnassiens, au muzain, récemment tiré de l'oubli, et surtout au sonnet qui, après une éclipse au XVIIIe siècle, est encore pratiqué de nos jours et n'est pas près de tomber en désuétude.

J'ai gardé pour la fin deux formes rares, toutes deux d'origine étrangères et dont la particularité est de compter un nombre indéterminé de strophes identiques : la terza rima et le pantoum.